Anthony Warrens
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Date d'inscription : 08/07/2010
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Âge du perso : 28 Ans
 | Sujet: Anthony Warrens  Jeu 8 Juil - 20:52 | |
| Bonjour tout le monde :) Description psychologique
Comment décrire le caractère de ce cher Anthony ? C’est un éternel boutentrain, toujours à se faire remarquer. Il n’y peut rien, c’est dans sa nature. Ce grand gaillard à toujours le mot ou l’attitude qu’il faut pour attirer les regards, des plaisanteries pas toujours du goût de tout le monde… C’est un grand gamin, immature comme pas deux lorsqu’il s’agit de se détendre. Il aime faire la fête et s’amuser, un peu de distraction n’a jamais fait de mal à personne, surtout dans l’enfer dans lequel ils se trouvent tous. Il ne sera jamais le dernier à chambrer une nouvelle recrue, toujours sans la moindre arrière pensée ou méchanceté. D’un tempérament impulsif, il a toujours eu du mal avec les ordres. Bien que l’armée et les responsabilités d’Arkange l’aient assagi, il n’hésitera jamais à défier un ordre pour sauver une vie. Sa loyauté ne connait que peu de limite, mais son sens de l’honneur et son altruisme passe avant tout. C’est ce comportement imprévisible qui lui ôte toute chance de promotion à l’heure actuelle selon ses supérieurs mais il n’y prête que peu d’importance. Difficile d’imaginer en le croisant incognito qu’il est un soldat, et pourtant… Son sang-froid ne laisse place à aucun doute. Courageux mais pas fou, il connait ses limites. Des limites qu’il n’hésitera pas à outrepasser si cela est nécessaire. Vous l’imaginer aisément, même en mission, l’Ellisien a toujours quelques répliques cyniques ou sarcastiques pour pimenter l’ambiance. L’ennui est son pire ennemi ! Charmeur né, il aime plaire, et l’amuseur de première laisse volontiers sa place à un jeune homme galant et gentleman lorsque l’occasion se présente. Une vraie pile électrique sur patte au sérieux vraiment bien cachée, mais pourtant… ne vous fiez pas trop aux apparences.
Manies/TOC
Quelques petites manies de ce cher Anthony ? Notre Arkange se frotte souvent l’arrière de la tête lorsqu’il est gêné. Facile de déchiffrer son regard, ses pupilles le trahissent toujours, mais vous pouvez y rajouter bien souvent ses doigts s’emmêlant dans ses cheveux. Une autre habitude ? Tony abuse des clins d’œil, en guise de bonjour, d’au revoir, d’encouragement, d’invitation à boire un verre… Difficile de se défaire de ces vielles habitudes. Le jeune homme se plait aussi à s’adosser au mur, bras croisés, une attitude qu’il prend lorsqu’il s’ennuie ou par simple provocation. Il n’est d’ailleurs pas rare de le voir faire une chose totalement stupide ou déplacée dans les minutes qui suivent. Enfin, le soldat a l’habitude de régulièrement touché à son PRI ou son arme lorsqu’il est en mission. Pas le moindre excès de stress ou envie de frimer, non, une simple recherche d’assurance. Afin de s’assurer d’être prêt en cas de besoin…
Idéaux
Anthony défend ses propres valeurs. Loyauté bien sûr, envers le sénateur Bennett, les lieutenants-colonels Vogel et Lewis, ses supérieurs mais aussi le moindre Arkange, du plus gradé à la dernière des recrues. La lâcheté l’insupporte. Il ne tient pas les lâches dans son cœur et leur fait savoir à chaque occasion. Difficile de remonter dans son estime après l’avoir déçu. Son sens des priorités s’apparente à son sens de l’honneur. Le jeune homme fera toujours passer une personne dans le besoin avant ses intérêts personnels ou certains ordres. Le terme de désobéir ne lui plait que peu, il préfère prétendre qu’il interprète les directives à sa manière ou qu’il les détourne sommairement, subtile nuance…
Aptitudes
Par son père, Anthony a vite été formé aux premiers secours ainsi qu’aux soins d’urgence et croyez-le, ce sont des aptitudes qui lui ont servi au sein de l’armée. Capable de prendre en charge les blessures légères en mission, comme d’assurer la survie d’un coéquipier en attendant l’équipe de secours, Anthony a reçu des formations complémentaires lors de son apprentissage comme l’assistance psychologique aux victimes de divers traumatismes. Lors de son service et son entrainement sur l’Argos, il fut assigné au renseignement. L’exploration, c’est son domaine et il avait les capacités requises pour ce poste : un bon sens de l’observation qui lui valurent une facilité naturelle pour le recueil d’information et la stratégie visuelle. Comme tout bon marine, il a été formé de manière à remplir des taches variées, telles que l’escorte, la sécurisation de territoire, le maniement des armes, de l’arme blanche aux armes de gros calibres… et le jeune homme loupe rarement sa cible. Comment envisager un poste sur Thalios sans cette qualité ?
Description physique
Au diable les stéréotypes. Ne cherchez ni gonflette, ni tatouage, Anthony n’est pas adepte de la musculation outre-mesure. Assez de biceps de la taille d’une cuisse, le soldat n’entre pas dans ce petit jeu. N’imaginez aucun extrême, sa place chez les Arkanges n’est pas usurpée, le jeune homme est pourvu d’une carrure athlétique bien que sans excès. A cela, l’on peut rajouter un joli minois, et il le sait. Ses deux yeux aux pupilles azurées scrutent toujours sans pudeur tandis que ses fines lèvres s’étirent bien souvent en un sourire qu’il modèle selon ses envies : charmeur ou provoquant, il obtient toujours ce qu’il veut. Ses cheveux sont éternellement en bataille, une coupe rasée de près, ce n’est pas pour lui, il tient à son look ! Comment profiter de ses permissions après ? Un look travaillé, certes, mais sans abus, il se laisse souvent aller avec sa barbe, par simple flemmardise. Le style d’une barbe mal rasée ne déplait pas à Tony bien qu’elle lui a déjà valu quelques remontrances en présence de hauts gradés. N’y-a-t-il donc rien de plus préoccupants que quelques poils sur ce vaisseau ?
Style vestimentaire
Tenue militaire oblige lorsqu’il est service. Il ne rechigne jamais à enfiler l’uniforme, au contraire, ça apporte bien des avantages. D’abord au sein de la communauté, c’est toujours rassurant pour les civils de voir la présence de militaires.
Lorsqu’il est en civil, Anthony a un style vestimentaire très simple et varié. Jeans, tee-shirt, chemises, blousons… il ne fait pas le difficile. Il cherchera toujours à se mettre en valeur, certes mais bien souvent, la simplicité apporte bien plus que le superflu alors à quoi bon dépenser une fortune en vêtement ? Autour de son cou, il porte constamment sa plaque alors que sur son poignet droit se trouve une gourmette, le gauche portant bien évidemment son précieux PRI. Comme tout bon Arkange, il le porte constamment. Prélude
Nous sommes en 2224. Derek Warrens, chercheur en pharmaceutique renommé reçoit une visite impromptue de sa douce, la belle italienne Livia, une modeste serveuse dans son pays natal. Il ne s’attendait pas à son arrivée avant plusieurs mois, avant leurs prochaines vacances. Ils menaient une relation difficile mais leur amour les unissait encore et toujours et malgré la masse de travail de son homme, la nouvelle méritait bien le déplacement. Elle était enceinte ! Ensemble, ils allaient avoir un bébé !
La vie sur terre
C’est dans un manoir qu’Anthony a fait ses premiers pas. A l’intérieur du manoir des Warrens. Son père l’avait fait construire lorsque Livia lui apprit qu’elle désirait vivre à ses côté, même si cela l’obligeait à rester loin des siens. Lorsqu’il lui demanda sa main, Derek ajouta une splendide demeure à la bague habituelle. Une splendide demeure dans laquelle le petit Anthony se sentit vite à son aise. Le plus grand malheur de sa nourrice fut le jour où il apprit à marcher, le garçon est alors devenu intenable. Sitôt qu’il tenait sur ses deux jambes, il passait son temps à courir dans chaque couloir, toujours caché derrière un meuble ou un rideau. Les bêtises, il les collectionna, et parmi ses préférées, mettre le foutoir dans les travaux de son père lui procurait un malin plaisir. Dès qu’il fut en âge, il rejoint la petite école de son quartier, au cœur de Manhattan. La cour de récréation, c’était son paradis. Il a toujours été populaire, a toujours chercher à l’être mais n’a jamais eu l’image d’un caïd. En cours, par contre, c’était une autre histoire… Il s’y ennuyait, difficile de trouver un autre mot. Il apprenait, apprenait même vite, mais cela sans le moindre intérêt ou volonté. Tant que sa mère supervisait ses devoirs le soir, en rentrant de l’école, son attitude dissipée en classe ne perturbait pas ses études. Du moins, jusqu’à ses quatorze ans. Cette année là, les médecins ont diagnostiqué à Livia avec beaucoup de retard un cancer. Elle en mourut quelques mois plus tard. Anthony en fut ravagé. L’école, il n’y mettait pratiquement plus les pieds, passait ses journées dans la rue en compagnie de gens peu fréquentables. Durant plus d’un an, Derek n’eut plus la moindre once d’autorité sur son fils, croulant sous les menaces d’exclusion et autres plaintes au sujet de ce dernier. Après une année de deuil, il finit par ouvrir les yeux. S’il n’avait pas été un bon père après la mort de sa femme, il comptait bien se racheter. Offrir le meilleur à leur enfant, c’était le rêve qu’ils avaient fondé ensemble, Livia et lui. Anthony était au plus mal mais son père allait l’aider à remonter la pente et cela prendrait le temps qu’il faudra. Des accros aux substances addictives, Derek y fut confronté de nombreuses fois dans le cadre de son travail, mais jamais, jamais il n’aurait songé un jour que son fils prendrait la place d’un tel patient. Pourtant il devait être fort. Un père, c’est toujours fort non ? Et peu à peu, Anthony releva la tête. Ce fut long mais avec un soutien constant, il y parvint. Il fit alors part à son père de son projet : rejoindre l’armée. Le lycée, ça n’avait jamais été son truc, en revanche, suivre la formation pour devenir marine, lorsqu’il atteindrait ses dix-sept ans, ça, ça l’emballait. Et son père approuva son choix, bien que ça ne soit pas l’avenir qu’il imaginait pour son fils, ce n’était pas son choix, et voir son fils retrouver de l’ambition perdue depuis longtemps était le plus beau présent qu’il pouvait attendre. En guise d’encouragement, il s’arrangea pour que son fils suive des formations de secouriste. Il jugeait cela indispensable, et c’était une preuve de son soutien. Un soutien constant, jusqu’au départ du Trinidad. Derek faisait parti du voyage, il n’avait pas eu le choix, en tant que chercheur et médecin, il avait été naturellement réquisitionné. Abandonner ainsi son fils pour une année le dérangeait, mais avaient-ils seulement le choix ? En guise de dernier présent, il fit en sorte que son fils ait sa place dans le dernier vaisseau. Un billet pour l’Argos avant de partir. Tony suivit sa première année sans tort, dans son élément. Seulement, le reste de sa formation, il la suivrait au sein de l’Argos, en tant que recrue.
Le voyage sur l'Argos
L’Argos, ça c’était quelque chose ! Impressionnant, c’était le seul mot qui lui venait à l’esprit. Une vraie ville à l'intérieur, abritant un nombre incalculable de personnes. Anthony y acheva sa formation, le bizutage et les calvaires d’une recrue, il les a subit, mais rapidement il trouva sa place. Ses connaissances en secourisme et premier soin furent appréciées et approfondies. Il fut assigné au renseignement. Un poste parfait pour lui. Il plu pour son discernement et ses capacités d’analyse. Bien trop impulsif et maladroit avec les ordres pour ses supérieurs mais une chose était sûre : il était à sa place. Un excellent éclaireur, même s’il n’avait pas grande utilité en ce rôle sur l’Argos, il restait avant tout un soldat. Soldat le jour… mais fêtard la nuit ! Douze ans de trajet, il fallait bien s’occuper, et Anthony ne ratait jamais une occasion de s’amuser, du moins, lorsque ses obligations au sein de l’armée le lui permettaient.
C’est ainsi que neuf années défilèrent. Sans encombre, dirons-nous, jusqu’au jour de l’incident et de la fameuse intervention du Lieutenant-colonel Norton. Ca pour de l’imprévu... Dériver dans l’espace n’était pas une activité des plus exaltantes, mais bref, ils n’avaient pas vraiment le choix. Heureusement que dans leur malheur, leur patience les récompensa après quelques mois avec la découverte d’une planète inconnue. Le lieutenant-colonel James Norton s’apprêtait à y faire une reconnaissance et devinez quoi : Anthony ne serait pas de la partie. Vous réalisez ? Voilà près de dix ans qu’il était formé dans l’attente d’une telle situation, dix ans qu’on le préparait à palier les imprévus, à affronter le pire, tout ça pour lui répondre qu’il manquait d’expérience sur le terrain lorsque le moment fut venu. Imaginez un peu sa frustration… Et la disparition des éclaireurs ne changea rien à sa déception, têtu, ça il l’était le jeune Warrens. Et son entêtement paya. Ce fut dans la seconde équipe, dirigée par le lieutenant Lewis qu’il fut assigné. Ce qu’ils trouvèrent sur cette mystérieuse planète, c’était l’enfer. Un environnement apriori biotique, semblable à celui de la Terre en certain détail et pourtant si différent mais au-delà de la faune ou des autres attraits, la véritable différence venait de cette foutue « malédiction ». Ce fut le premier mot qui vint à l’esprit d’Anthony lorsqu’ils retrouvèrent les membres de la première escouade. Dieu seul savait ce qu’il leur était arrivé mais que le Tout Puissant le préserve. Quoi que ce soit, il ne désirait pas finir comme eux. C’était… à la fois terrifiant et répugnant. Une mutation inconnue… Une horreur. Après cette découverte, ils se retirèrent, que pouvaient-ils faire d’autre ? Tous furent congédiés à l’infirmerie dès leur retour pour des examens poussés, et ça, ce n’était pas la joie. Ils ne parlaient pas beaucoup mais Anthony lisait dans leur cœur, comme chacun d’entre eux : tous priaient d’avoir été épargnés. Et ce fut le cas.
Les mois qui suivirent furent plus agités. Leur situation préoccupante rendait l’atmosphère lourde, même au sein de l’armée et Anthony comme certains de ses compagnons ne croyait plus en une aide extérieure. Arriva alors l’inévitable : le Sénateur Bennett prit la décision de s’installer sur la planète, d’y construire une base. La base Ellis.
La vie sur Thalos
Anthony fut l’un des premiers à fouler de nouveau le sol de Thalos, leur foyer provisoire. Sa participation à la seconde reconnaissance avait fait de lui un parfait candidat pour accompagner les colons et participer à l’élaboration d’une base. Sa construction avançait sûrement, sous la protection de l’armée. Ils affrontèrent bien des difficultés mais savaient se montrer efficace la plupart du temps. Pourtant, lorsque le lieutenant-colonel James Norton, ou plutôt ce qu’il était devenu, attaqua la base, leurs efforts furent insuffisants. Ils déplorèrent plusieurs disparitions. Une attaque inexplicable. L’héritier Warrens eut la chance d’en sortir indemne.
Peu à peu, leur habitat se modela et prit forme. La base Ellis fut finie, leur offrant l’assurance de leur survie et eux, devinrent les Arkanges, un nom qui ne déplaisait pas à Anthony. Placé sous les ordres directs du lieutenant-colonel Reed Vogel, il fut assigné à la protection de la base, sur Thalos. Son ancienneté au sein de l’armée lui valut le grade de lieutenant bien qu’on ne manqua pas de lui rappeler le gouffre qui le séparait de toute éventuelle autre promotion. Trop instable qu’ils disaient… des sottises…
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Comment avez-vous connu le forum ? Par une demande de recherche de fo faite par une amie à moi sur PRD. :)
Comment trouvez-vous le forum ? Joli déjà, et surtout un background hyper détaillé, ça fait vraiment plaisir. Je suis tombé amoureux de la richesse du contexte, un grand bravo pour ça, c'est rare.
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Dernière édition par Anthony Warrens le Ven 30 Juil - 16:41, édité 4 fois | |
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